Elle revient à tromper la vigilance du poisson en lui proposant à la surface ( ou juste en dessous ) une imitation d’insectes aquatiques dont la truite se nourrit couramment. Il peut s’agir d’éphémères ( ou mouches sèches ) et de larves aquatiques ( ou mouches noyées ). C’est un mode de pêche qui peut se pratiquer toute la saison en 1ère catégorie mais les meilleurs moments se trouvent de mi-avril à la fermeture mi-septembre. Cette technique de pêche demande l’emploi d’une canne à mouche et d’un moulinet avec comme spécificité l’utilisation de la soie qui va permettre de imaginer la mouche à des centaines de mètres. Cette manière de fouetter va permettre d’attirer et de leurrer le poisson qui va se présenter pour gober l’appât ; c’est donc une pêche qui peu se pratiquer, surtout, à la vue. Ce type de pêche est assimilé par beaucoup à une représentation artistique, du fait de l’aspect visuel et esthétique du lancer.
La Truite de Rivière, Périodes favorables
les insectes sont très à partir des beaux jours et donc du réchauffement de l’air. En effet à compter de ce moment-là, ils sont en ébullition au bord des rivières et sur les berges se précipitant souvent à la surface de l’eau. Ils sont donc une part conséquente de l’alimentation de la truite.
dés le lancer réalisée la canne doit être en position la plus verticale possible afin de maintenir le fil tendu et donc le contact avec le bas de ligne. Sur une autre problématique mais au sein de la même thématique, lire cette page. La canne sera tenue par la main droite et la main gauche tiendra le fil par un ou plusieurs doigts ce qui permet de produire une tension de la ligne. Cette tension ne doit pas être trop forte car cela perturberait la dérive naturelle et donc l’attaque de la truite. En fait la ligne doit être accompagnée dans le sens du courant et non pas commandée vers celui ci.
Quand pêcher la truite, guide pratique
Ce mode de pêche demande une expérience conséquente avant de pouvoir le maîtriser un temps soit peu. En effet, la présence du pêcheur au bord de l’eau va lui permettre d’absorber une caractéristique conséquente : le sens de l’eau. Sous ce terme est désigné la connaissance piscicole de la rivière c’est à dire le fait de savoir où peut se placer une truite et quelle veine d’eau ou courant choisir pour faire passer l’appât sur la zone de chasse de notre belle mouchetée. Ce savoir s’acquiert par une observation rigoureuse du parcours de pêche choisi et des qu’il propose. Il se développe donc de façon conséquente à l’appel de la rivière et en situation de pêche.
il est important car il positionne le point de démarrage de la dérive qui doit se placer à l’extrémité de la veine d’eau choisie. Il doit être le plus sage possible afin de ne pas éveiller la méfiance de la truite.
Quand pêcher la truite, conseils d’achat
le ferrage doit être ample et souple, mais sans réflexes brusques. Ensuite le ramené du poisson doit tenir compte de sa grosseur et de la disposition du pêché : envisager dés le ferrage un lieu d’échouage pertinent. Attention à ne pas ramener trop rapidement un poisson même de petite taille, la truite étant un poisson très dynamique et imprévisible.
D’une façon générale, les mois de mai et juin sont souvent la meilleure période pour taquiner ( à toutes les techniques ! ) la truite qui est au sommet de sa forme : la chaleur de l’eau est parfaite, la nature explose et grouille d’insectes de toute sortes, la truite sait profiter de cette manne.
Le plan d’eau est fréquemment empoissonné en truite arc-en-ciel de belle taille. La pêche le long de la rive nord – pas de calais est interdite pour de multiples raisons de sécurité liées à la route. Le mercredi la pêche est gratuite pour les petits de moins de 12 ans détenteur du permis de pêche.
d’une manière générale, le pêcheur devrait, dans ces moments-là, faire preuve d’une certaine maîtrise de soi afin de ne pas céder à l’excitation que la prise d’un poisson entraîne ( notamment s’il est de belle taille ) et ce afin de compléter l’échouage de la truite. Avouons cependant que le contentement de prendre un poisson et la montée d’adrénaline qu’il délivre ne font qu’augmenter cette passion qui anime le pêcheur de truites farios.