En fonction de la période, de la température de l’eau, de la météo, de la marée, de l’heure etc. Le poisson se trouve à une certaine profondeur ( il est en surface, entre deux eaux ou en profondeur ). La question de la profondeur à laquelle découvrir le bar et son activité, plus qu’essentielle, rend la pêche au bar relativement pratique et demande donc un certain apprentissage et un peu d’expérience. En revanche, une fois cette barrière dépassée, la pêche au bar du bord au lancer délivre une grande satisfaction et permet de amener des spécimens que vivez rarement chez votre poissonnier. Si vous n’avez aucune idée de la profondeur à laquelle se trouve le bar, je vous conseille de commencer par des leurres de surface et ensuite de changer de leurre en allant le chercher d’avantage en profondeur. Cela vous permettra ainsi de ne pas lui révéler trop tôt votre visibilité. Pour finir, une l’absence de touche sur un genre de leurre n’est en aucun cas symbole d’absence de bar. Il se peut en toute simplicité que vous ne le cherchiez pas à la bonne profondeur. N’hésitez donc pas à essayer plusieurs profondeurs avant de changer de poste. Il est parfois utile et gratifiant de mettre un leurre au couleurs vives ( orange, couleur roese et blanc ) afin de réveiller l’agressivité des restos .
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Le bar
Cela étant dit, je dois quand même suggérer que dans la plupart des cas, le 5 me parait la taille la plus adaptée pour targetter des restos de belle taille. Malheureusement, les jours où j’en ai croisé cette saison j’étais seul et n’ai pas mes clichés en mode auto-portrait les gros restos sont fragiles et supportent mal les longues manipulations hors de l’eau, pour les relâcher dans les meilleures circonstances, j’ai bâclé l’étape photo. Vous vous contenterez donc de ce cliché montrant le plus gros que j’ai pris pour l’instant cette saison, un coquet poisson qui doit passer au-dela de significativement les 80 cm et qui avait enfourné mon one up slug avant de m’offrir un formidable combat .
Bonjour et bonne année antérieure à tous, je répond tardivementnon, je ne pêche plus du bord car j’ai la possibilité d’avoir un bateau dès 3 ans ! Mais j’ai enormement pratiqué la pêche au bar, surtout dans les estuaires aven/bélon; on est quasiment voisins ! Aujourd’hui je suis beaucoup moins focalisé sur le bar. Je pêche un peu de tout, selon les périodes : maquereaux, lieux, tacauds, vieilles daurades, merlans etcmais je ne utile que la ligne, pas de filets ! Je connais assez bien “le quartier” car j’ai été professionnel par loin derrière nous, alors évidemment ça épaule ! A bientôt sur le blog
Si je suis en l’occurence concret devant la visibilité précoce et relativement conséquente des restos à la côte, je suis en revanche assez inquiet devant la quantité hallucinante d’algues vertes présentes sur le haut de l’estran. Sur un autre problème mais toujours dans la même catégorie, lire également a quoi pêcher le gardon. C’est la 1ère année que j’en vois autant et aussi tôt.
Il faudra donc accepter ces mesures et espérer qu’elles participeront à préserve cette espèce incontournable, aujourd’hui menacée. Il faudra aussi assez vite s’interroger sur les fortes différences dans les efforts demandés aux plaisanciers comme aux professionnels selon les zones géographiques. Aujourd’hui les scientifiques disent manquer de données pour évaluer l’état du stock en bretagne sud, dans le golfe de gascogne, en espagne, au portugal et même en méditerranée. Pourtant les pêcheurs paraissent appercevoir dans beaucoup des ces secteurs la même diminution qu’en bretagne haut de france ou dans la manche. les analyses de marquage sur les restos nous indiquent que des poissons font le séjour entre ces deux zones. Il est vraiment problématique que des mesures aussi fortes et compliquées sur la partie haut de france soient mises en manque par des mesures encore très permissives sur la partie sud, notamment pour les professionnels du filet et du chalut.
Bienvenue dans notre dossier spécial sur le bar / le loup.
Toujours pour en savoir plus sur notre bar et de le pêcher plus aisément, il est important de connaitre ses routines en terme de poste. Le bar à besoin d’une eau oxygénée au maximum et bien agitée. Ces circonstances réunies en règle générale quand la profondeur reste faible, nous montre bien que le bar n’est pas amateur de grand fond, il faudra donc prospecter dans une hauteur d’eau maximum aux alentours de 5m en n’hésitant pas à aller chercher là où la hauteur est seulement comprise entre 1m et 2m. Certaines analyses nous montrent que le bar évite divers fonds comme par exemple les fonds vaseux ou aussi tapissé d’algues. Sa préférence ira en l’occurence vers les rochers, galets ou aussi mer de sable, là ou il pourra se mettre à l’affut pour attendre sa proie .
Considérant que le bar a besoin d’une période de tranquillité pour prendre en charge sa duplication et à manque des lois en la matière, beaucoup de pêcheurs sportifs s’imposent leur propre période de fermeture. Pour ma part cette période court sur les 3 premiers mois de l’année et j’attaque donc ma saison de pêche du bar début avril. Je pratique surtout à partir du bord et je dois donc souvent attendre encore quelques semaines avant de retrouver mes premiers restos .
Pêcher le bar en surface
La matériel est simple en outre. Si vous pratiquez déjà la pêche du sandre aux leurres en eau douce, vous pouvez employer le même matériel pour vos premiers restos ou s’il s’agit d’un usage unique. Pour la canne, la couleur ? Rougeâtre évidemment ! Une couleur dont adorent les restos qui détaille la raison d’être des cannes tenryu 😉. Trêve de plaisanterie choisissez un modèle fin allant de 2, 10m à 2, 50m, de puissance 10 à 30gr, c’est-à-dire m, ou mh. Les collections injection et supermix de tenryu sont parfaites. Un moulinet de taille 2500 à 3500 convenablement garni de tresse ygk de 12 à 15 % et un bas de ligne de 1, 5 m de fluorocarbone de genre ygk shockleader en 20 livres, ou 30 centièmes ( le nitlon dfc 100 m est très très bien en outre pour ces pêches fines en 30% ). Le nœud de raccord est peut être l’élément le plus pratique à réaliser dans cette pratique débutante de la pêche du bar aux leurres. Vous trouverez de multiples indications sur le web ( nœud peixet ), mon seul conseil est de bien humecter le nœud, et ne pas trop le serrer. Une agrafe, vous simplifiera la tâche, elle doit être mesurée et légère, de genre decoy egg snap, n° 2.
À la sortie d’estuaire, de criques, de bassines, d’embouchures où le passage de poissons qui descendent ou remontent le commun est important, les restos ne sont jamais bien loin. Prospectez la partie en vous déplaçant afin de mieux trouver les poissons actifs qui s’alimentent.
Repérez les grands plateaux rocheux sur votre cartographie gps ou sur la carte et pêchez en dérive :. – les zones les plus hautes, c’est-à-dire les têtes de roches qui souvent découvrent à marée basse par grands coefficients. – les zones de brusques changements de profondeur,. – les restrictions de parcs à huîtres ou à moules,. – les côtés des plateaux rocheux présentés au commun de marée et/ou à la houle. Biensûr il y a d’autres postes mais contentez vous de ceux-ci pour prendre vos premiers restos .
Notez qu’il faut brider les restos pour endiguer la casse contre les rochers. On utilisera une tête de ligne en monofilament 40 centièmes pour résister à l’abrasion des arrêtes rocheuses. Pensez en outre à soigner la qualité de l’agrafe. Choisissez des articles résistant à 40 kilogrammes .
Dernière mise à jour le 2024-04-20
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