Aujourd’hui c’est sylvain g. De sète qui nous facilite la vie en nous partageant son compétence de la pêche aux céphalopodes du bord. Je le remercie pour ce super article complet qui assistera très certainement certain d’entre-vous à capturer des seiches, des calamars voir des poulpes
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Pêcher la seiche, où et quand
Pour la seiche comme le calamar une eau concise est importante, on peu en faire dans une eau un peu chargée mais les résultats n’auront rien à voir. -pour la seiche : livraison, avant port, digues, elle affectionne tout. Particulièrement les seuils sable/rochers
Pour la seiche je réalises cette anim avec des petits bonds et de tres très grandes pauses et je prospecte bien les premiers rochers à mes pieds, souvent le hot spot ! Pour le calamar je fait des bonds plus grands et des pauses moins longues jusqu’au rochers à mes pieds. La touche se sent pour la seiche comme si on avait accroché un petit sac plastique ou lors de pauses on sent une petite tirée. Le calamar est quand à lui plus méchant, lors de reprise de pause on peut penser s’être accroché, ou si la touche se fabrique lorsqu’on avance, ça secoue ! Dans les deux cas on ramène ni trop rapidement ni trop lentement, juste de quoi bien enfoncer les piquants dans les tentacules et il ne faut jamais laisser de mou ou s’arreter de mouliner. Lors d’un deccroché, arreter de mouliner de suite et attendre qques secondes, très souvent elle revient à l’attaque ou relancer de suite à l’endroit où ça a deccroché. Au bord j’utilise pas de salabre mais si vous le voulez ça peut servir surtout sur un tres gros calamar.
Rien n’est figé, la pêche au calamar est pleine de surprises ! Ce qui marchera une fois ne marchera pas forcément le lendemain, le plus dur est par conséquent de trouver les calamars et ce qui produit l’attaque. Vous devez être en mesure de repérer facilement à quelle profondeur l’attaque ce produit car le calmar ou la seiche ce promène en banc.
Nous allons trouver du bord trois genres de cracheurs d’encre : la seiche ( sépia officinalis ) bien rencontré pour son os que l’on retrouve sur les plages et dans les cages a oiseaux, le calamar ( loligo vulgaris ) qui a une » réalisation de style » cartilage qui a la place de l’os et le poulpe qui est complètement mou, mis a part le bec, que les trois espèces possèdent. Ce dernier n’a pas non plus les deux longs bras rétractables qui servent aux autres a chasser et ne a donc que 8 tentacules.
Si vous commencez, recherchez les taches de cambouis d’encres sur les rochers, les quais ou aussi les digues. Vous n’avez rien repéré ? Pas de panique, orientez vous vers un quai ou une digue faite d’enrochements naturels avec une profondeur immédiate et ou le courant est faible. C’est le terrain de jeu optimal pour le calamar, la seiche quand à elle ne sera pas contre un fond sableux ! ! !
Quelle technique pour pêcher la seiche
Une pêche plutôt simple et qui permet de pratiquer sa passion quand le poisson quitte le bord à l’approche de la saison froide. Sur une autre question mais au sein de la même thématique, lire avec quoi pêcher le chevesne. La pêche du calamar ou de la seiche au leurre permet donc de retrouver quelques sensations avant de mettre sa saison de pêche en cote en stand–by !
4 commentaires sur “Pêcher la seiche, découvrez nos conseils.”
La difference entre le calamar et la seiche c’est que la seiche se trouve quasiment uniformément en tout lieu et posée sur le fond ou planquée dans les rochers tandis que le calamar navigue par passage sur toute la hauteur d’eau, il faut avoir la possibilité d’être sur le bon site au bon moment.
Sur fond encombrés la plombée terminale va vous permettre de ne laisser que le lest et de sauver votre turlutte. On peut employer de gros boulons ou un morceau de chaine si nous voulons endiguer de polluer trop. On accroche plus, mais on sauve plus souvent la turlutte. C’est plus une technique à gratter le fond qui ciblera seiche et poulpes.
La seiche appréciera les fonds sableux, au pied des rochers ou des quais, des zones où elle va pouvoir se camoufler et chasser de petits poissons, des crabes ou des crevettes. Très agressive, elle n’hésitera pas à retourner sur un leurre 4 ou 5 fois. On la capture souvent tout près du fond en effectuant de petits mouvements saccadés. A partir de sept. Je me réalises souvent grignoter les crabes quand je pêche au canal de sète ou sur les digues. Quand vous trouvez votre crabe mangé entre les deux hameçons, voir même grignoté autour de l’hameçon ou qu’il ne reste que la carapace du dessus, peu de doute sur la responsable.
Prendre du matos leger car il faut le porter toute la partie de pêche donc autant être à l’aise. -une canne à leurre suffit, je pêche avec une 2m40 15/40grs c’est laaargement suffisant sur toutes les seiches mais limite sur les gros calamars, le must serait donc une 2m70 en 20/50. – pour le moulinet un 2500 suffit, je pêche en tresse pour mieux sentir les notes de seiche lors des pauses et sortir mes imposantes prises sans salabre, mais du nylon suffit. – pour la turlutte j’opte pour une flottante, laquelle nous monterons en » drop shot « , le drop shot c’est le montage où l’on monte un leurre non plombé en série avec un petit plomb. ( voir shema ). Pour sa teinte, il y a pas de règle, chacun à sa fétiche, perso par temps ravissant, la rose, orange et multicolore marchent parfaitement et par temps ombreuse la bleue ou autres teinte foncée fait face .
Dernière mise à jour le 2024-04-25
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